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Le Chant du possible
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30 mai 2006

Injures d'à propos

Je déteste ces connes aux cervelles étriquées qui viennent en permanence faire la morale quasi promotionnelle de leurs grands principes et lois de pacotille. Je déteste ces mielleuses de l'emmerdement pré programmé qui n'ont de cesse d'insulter les évidences qui les dépassent alors, toujours quand évidence rime avec anormal, toujours quand évidence rime avec extraordinaire. Oh, chères dames de piètres consciences, vous ne m'aurez pas aussi aisément, j'ai derrière moi l'acharnement et la rage d'une Bêtise qui n'en démord pas, qui se bat et vaincra, non, vieilles mégères, vous n'abattrez pas celui qui devant vous se fait un festin de vos yeux de tétards écarquillés, pauvres folles, satanées vaniteuses ! Allez donc en enfer, mangez la merde aux culs poisseux des naïfs, allez renifler la lie des gens qui n'y croient pas assez, allez mourir pour d'autres causes plus futiles, des raisons qui vous dépassent et de la jalousie placardée. Je vous hais grandes salopes, consummées de l'inédit, esseulées de la folie utile. Alors, vous vouliez m'écoeurer, me constater fâché, anéanti, blasé ou possédé par les doutes et la constance facile, mais vous n'aurez rien, rien de tout cela, ni de moi en général, je suis mort dans vos stagnances, volatilisé de vos immobilismes, et je vous crache sur le devenir déjà ecrit, sur vos postulats rédigés dans la langue du truc que l'on connait tous. Et si je suis dingue, et si je suis dérangé, et si je suis coupable, alors qu'importe, c'est moi, et moi seul qui en crèverai de ma trop grande utopie ! Je vais y aller, vous prouver les inverses, justes opposées, oui, vous en tomberez agonisantes et terrifiées de ma méga conspiration à baiser le bonheur. Car voilà, j'en jouis déjà de tout cela, et tout peut s'arrêter demain que je n'aurais à jamais autant pris mon pied dans le non sens de tout cela. Mesdames, mes hommages, je suis votre discident, j'aime cela, regardez ma langue, elle se fourche à vous faire la politesse insultante. Et, au fait, les vergétures, elles sont aussi parfois dans le jugement et l'apostrophe de celui que vous ne comprennez pas, et ne comprendrez décidément jamais ! Moi, consacré Bêtise, à l'office de la peine endurée et à l'autel de l'épanouissement en devenir, je vous merde et vous remerde encore...

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